J’ai parlé du syndrome de l’imposteur que beaucoup d’entrepreneurs, salariés, professionnels ressentent. J’aimerais évoquer aujourd’hui le moment de doute. La baisse de régime. Le coup de cafard qui peut survenir à n’importe quel moment. Quand on se lance dans un projet, qu’on souhaite en vivre ou non, il y a toujours des jours où l’on ne sait plus ce que l’on fait là. On se demande même pourquoi on s’est dit un jour qu’on allait arpenter ce chemin.
Catégorie : S’uber
L’économie numérique est une réalité, et on est nombreux à entreprendre grâce à elle. Qu’est-ce que cela change concrètement pour notre système de travail en France, pour les différentes formes de contrats…? Sans être ni juriste, ni sociologue, il s’agit de réflexions personnelles que je pense nécessaires.
Non, pas dans ce sens bande de libidineux… Je vais vous poser la question suivante : est-ce qu’à partir du moment où l’on prend du plaisir à travailler, l’on ne travaille plus, justement ? Ne répondez pas tout de suite, vous verrez combien cette question est beaucoup plus complexe pour notre petit cerveau qu’il n’y paraît !
Il y a trois semaines, j’ai fait la rencontre de Stéphane Briot, aka 4h18. Cela a coïncidé avec mon retour dans le « Noble Jeu » du Web. Notre rencontre, grâce à Twitter, a déclenché chez moi une réflexion très particulière que j’ai partagée sur mon blog perso l’A-4. Au cours d’un article, j’évoque ce que j’appelle « l’orgueil de la virgule », mais qui devrait en réalité s’intituler : « Le syndrome de l’imposteur ».
Pour répondre à cette question, pour une fois, Google et Wikipédia ne peuvent rien faire. Enfin, si vous voulez une vraie réponse, hein, pas une flopée d’articles qui vous expliquent comment le devenir en 42 jours, et le rentabiliser dans les minutes qui suivent !
Cette question a été posée par Cédric Debacq sur son site. Au cours d’un article, quelques entrepreneurs apportent leur réponse. Et comme on ne m’a pas demandé mon avis, je suis obligée de le donner, bah oui !