Roger, Roger, vous m’entendez ? Roger, nous essuyons le feu nourri de l’ennemi, mais nous tenons bon. Oui, Roger, l’ennemi est toujours « le renoncement ». Je sais Roger, vous appelez-ça l’échec. Roger, ne vous vexez pas… Nous tenons la plage ! Comment ça on n’a pas beaucoup avancé ? Mais on vous emmerde Roger, on est devenu copain avec les autres forces armées ! Ouais, ouais, même les Américains. Ouais, ouais… Même les Anglais ! Oui, Roger, promis, on vise les bunkers. Mais patience. Pour le moment, on débarque encore…
Revival Horror
Alors voilà. Ça fait plus de six mois, il ne faut pas m’en vouloir, mais il faut dire que ce « débarquement en Normandie pixellisée » a été tendu. Une vraie boucherie. Comme le vrai. Ou presque. J’ai raté le coche de l’anniversaire, car normalement, j’aurais dû écrire ce billet aux alentours du 10 avril. Bon, j’ai presque un mois de retard… Mais en blogging, c’est toujours moins grave que dans la vraie vie…
A l’occasion du #BlabHebdo sur la confiance en soi, j’aimerais revenir sur mon petit parcours… Pourquoi ? Parce que ça a TOUT à voir, Roger ! Bon sang, mais suis un peu !
Peut-être que vous l’ignorez, mais il y a six mois, j’étais pas là. Peut-être même que vous vous dites « sans dec’, elle est partout la gamine, mais comment elle fait… ?! » Hé hé…. Non. Déjà, oubliez cette idée. Bon, comment tout ça a commencé ? Je vous raconte la vraie histoire de mon « ascension fulgurante, ouh la la ». L’histoire du comment on passe d’invisible sur le net à…
« Salut, j’fais des Blabs avec Stéphane Briot, Laurent Bourrelly, Thomas Cubel, et Moïse ! »
Vous allez voir que c’est surtout une question de coïncidence, d’amusement, de naturel… De chance, de rencontres, de discussion, de rebondissements… Une histoire de la vie réelle, quoi.
Il était une fois… Une scribouillarde
Acte I – Why so serious ?
Je suis quelqu’un qui n’a pas confiance en soi. Qui lutte depuis des années pour ne plus s’excuser à tout bout de champ (et je fais d’énormes progrès), qui trouve toutes les excuses pour essayer de s’effacer. BREF, je me lèche les plaies, persuadée que je n’arrive jamais à rien. Plutôt que de dramatiser à outrance une vie qui me terrifie, je tourne toujours tout en dérision. Tout est une vaste blague, car les blagues… Ça fait moins peur. C’est pour ça que je plaisante tout le temps. Ce n’est pas du manque de sérieux. C’est de la dédramatisation. Pourquoi je vous dis ça ? Parce que mon histoire commence par une blague, en fait…
@laurentbourelly Comme ça, ça va ? #liveseo pic.twitter.com/ud3gsuSPYy
— Camille Gillet (@Gillet_Camille) 5 février 2015
Oui. Il y a plus d’un an, je n’étais plus Rédactrice Web. Je traînais au hasard sur Twitter (que je n’utilisais pas), et je sais plus pourquoi, je tombe sur le tweet de Laurent (que j’avais croisé un jour dans une conf’, et qui m’avait fait l’effet d’un gros méchant mangeur de bébés pandas… Sans dec.). Donc, je vois ce tweet passer, et immédiatement : je me mets à rigoler comme une andouille. Je venais d’avoir une idée de trollounet. Ni une ni deux, j’apprends – pour l’occasion – à faire un gif, et je balance la sauce…
Vous savez que j’en rigole encore ? Oui, mon humour est à ce point.
A l’époque, j’étais inconnue, j’avais quitté mon métier, je comptais me reconvertir dans la surveillance de gosses en lycée (véridique !)… Ou le développement Web (oui, aussi), et j’ignorais tout de « 4h18 ». Pour preuve, une capture de mon Twitter Analytics :
Et après cette saillie intellectuelle ? Envolée. Je ne voulais pas remettre un pied dans la danse. Donc, je n’allais pas rester… Mais alors… Qu’est-ce qui s’est passé ?
Acte II – Quand le Conseil Jedi l’autorisa à me former
Nous sommes le samedi 10 octobre 2015, il me semble. Je n’ai toujours pas l’intention de revenir. Même si j’avais compris que j’étais bel et bien une « gratte-clavier ». Je passe sur Twitter, pour « faire du ménage ». Parce que j’aimais bien effacer mes tweets, vous voyez… ? Et je retombe sur ma blagounette. Je rigole encore (pourquoi s’en priver ?), et je revois « 4h18 ». Je me rappelle qu’à l’époque, j’étais passée sur son site en coup de vent, en me promettant de prendre le temps de lire…
Bon, étant au chômage, je n’avais plus rien à perdre, hein. Donc, ZOU ! Et je commence à lire ce fameux « 4h18 » qui avait trouvé ma blague drôle (un homme de goût, évidemment). En découvrant qu’il a la même vision que moi du Web, qu’il ose dire les choses, etc. Je réagis. Pas de commentaires possibles sur le blog, pas grave, j’envoie un tweet pour dire que j’ai aimé tel article.
Et le mec me répond… Et je lui réponds, et on se répond… Et j’ai déjà parlé de ça, vous savez… Bref, à la suite de cette discussion, il veut m’avoir au tel pour papoter. Je panique, et je me fends d’un billet sur mon blog privé. Ici. Si vous avez la flemme de lire : Ce billet démontre tout le paradoxe que je représente. Un orgueil hallucinant et sans bornes… Entaché d’un manque de confiance en soi qui confine au pathétique.
Paradoxal, je l’admets, mais je jongle avec depuis des années. Il y a fort à parier que vous aussi, d’ailleurs…
En quelques heures de conversation téléphonique, Stéphane arrive à me faire admettre que je veux revenir, que je veux écrire, que je veux faire ça « à ma manière ». Le lendemain, je créais PressEnter, et je décidais de « jouer ». Contrairement à l’année d’avant où je prenais bien garde de n’avoir de contact avec personne, de travailler dans mon coin, et de ne pas faire de vague, cette fois-ci, je dansais sur l’humour à deux balles, l’impertinence, et tout le reste.
Parce que voyez-vous… J’avais compris que quitte à se planter, il valait mieux s’amuser. A la fin du mois, Twitter me disait :
Et c’est en délirant sur mon problème de manque de confiance en moi, que j’appelai Stéphane « Maître » pour la première fois. A noter qu’à l’origine, cela n’avait rien à voir avec un Maître Jedi. Je faisais ici une référence à l’histoire de Frankenstein… Plus précisément à Igor, le larbin bossu qui répète ça sans cesse avec une voix plaintive. Eh oui… C’est l’image que j’ai. Depuis, Stéphane m’a suffisamment baffée pour que j’arrête de voir ça comme ça.
Acte III – Liaisons fumeuses
Un autre point que l’on soulève souvent est « mon réseau ». Ah-ah. La bonne blague ! Non, en fait non. Encore une fois, Stéphane, et plus tard Thomas, m’ont fait remarquer que je parlais avec des personnes… Eh bien « pas des pédés du Ouèbe, quoi ! »
Oui. J’avais pas fait gaffe, mais oui…
C’est vrai qu’en six mois, j’ai :
- Réussi à me « glisser » dans le #BlabHebdo
- Fait une apparition dans les « Femmes du Web » de AxeNet (et franchement, c’était un putain de compliment de le voir me proposer ça !!)
- Me suis fait plein de « copains » SEO avec qui on refait le monde autour d’une bière…
- Réussi à devoir un Mojito à Laurent, un Whisky à Sylvain, une bière Allemande à Maxime (Oui, pour celle-ci… On attendra :p)
- Gonflé un Twitter qui n’en revient toujours pas que des gens me parlent
En fait, ce « j’ai » que l’on m’attribue, même si selon Stéphane, il est de mon fait, car je papote, je rigole, etc… Je n’en démords pas ! Si j’ai ces personnes dans mon réseau (et encore, faut le dire vite), c’est parce que ces personnes croient, ou ont cru en moi.
Ce n’est pas de la fausse modestie. C’est MOI qui remercie ces gens. Pour leur conversation. Pour leur positivisme. Pour leur confiance et adoubement de mes compétences, aussi ! Alors… Merci à :
- Stéphane Briot
- Laurent Bourrelly
- Thomas Cubel
- Sylvain Richard
- Christian Méline
- Clément Pessaux
- Laurent Jean
- Thomas Leonnetti
- Régis Stéphant
- Victor Lerat
- François Lamé
- Julien G.
- Sébastien Pierrepack
- Sylvain Peyronnet
- Patrice Romevo
- Cédric Debacq
- Didier Sampaolo
- Neonoz
- Doeurf
- Moïse
Et j’en oublie sûrement… Désolée ! Je dois beaucoup à ces personnes qui m’aident, qui rient à mes vannes de merde, et avec qui il m’arrive de travailler.
Donc, même si je suis l’équivalent d’un Ewok-mascotte (soyons francs) pour « le milieu », je n’ai aucun mérite à ça. Ou alors, il serait temps de reconnaître que je suis quelqu’un de drôle :p
Acte IV – Le fabuleux destin de notre petit poulain !
Et outre le gonflement de mon Twitter ? Non, parce que là, l’allongement de ma liste de followers n’est pas une fin en soi. Eh bien… Ca dépote.
Il y a les Blab, oui… Les missions intéressantes avec mes clients, oui… Mais encore ?
Revenons-en à la confiance, voulez-vous ? Je n’ai toujours pas confiance en moi. Même si j’essaie de ne plus avoir l’air aussi malingre qu’à mes débuts. C’est pas sexy quelqu’un de tassé sur sa chaise qui dit tout le temps « pardon ». Alors je donne le change au cours des blabs, etc. Mais ne vous y trompez pas : j’ai juste fini par entendre l’une des leçons de Laurent.
En revanche, je commence à avoir confiance en mon travail.
Depuis octobre, je me suis mise à oser dévoiler mes écrits personnels. Mes articles à polémique et politiques, mes nouvelles… J’ai même repris l’écriture de ma petite fanfiction sur Harry Potter… Et découvert qu’en fait… Alors qu’elle n’est qu’au tiers de son écriture, elle fait déjà plus de 130k mots !
En fait, depuis octobre, en étant juste moi. Avec mes défauts. En prenant le risque que mes prises de position fassent chier. En osant dire ce que je pense, avec mon vocabulaire de poissonnière. Avec mes paradoxes, mes incertitudes, mes doutes, mes peurs… Eh bien avec tout ça, je n’ai jamais autant osé le dire :
Hier, j’étais une Rédactrice Web ratée. Aujourd’hui, je suis une scribouillarde en devenir. Un auteur numérique qui s’assume pleinement.
Je prends confiance en mon travail. En la légitimité de mes désirs. En ma capacité à faire voyager les gens avec mes histoires… Demain, dans le Blab, on parlera probablement du syndrome de l’imposteur. Ça reste une réalité. Mais, en six mois, j’ai fini par comprendre que j’avais le droit de désirer certaines choses. Et de faire en sorte d’y arriver. Et j’ai surtout compris un truc grâce à toutes ces personnes et ces expériences :
Qu’en fait, la confiance en soi c’est surfait. Ce qui compte, ce n’est pas de se kiffer, mais de kiffer ce que l’on fait.
Et depuis… ?
Depuis… Stéphane me fait toujours chier. C’est quelqu’un que j’aime beaucoup irl. A qui je dois énormément. Qui me brusque, qui m’aide, qui m’emmerde, et qui m’emmène loin. Très loin ! Quelqu’un que j’adore. C’est mon Maître, et même dans dix ans (quand j’aurais vendu mon premier best-seller !), je m’en souviendrai
Depuis… J’ai toujours des sueurs froides lorsque j’essaie de dire bonjour à Laurent. Oui, oui. Les gens qui croient que je suis « super potos » parce que je suis dans le Blab, on se clame. Hulk me fout la trouille. Mais si j’ose faire des blagues avec lui (on se refait pas), le fait qu’il ne rigole jamais me donne des palpitations. Mais je ne perds pas espoir… Un jour, il rigolera !
Depuis… Thomas m’a appris à faire du Jump sur UT. Mais surtout : à ne plus me sous-vendre, et il croit en mon talent. Et me pousse beaucoup à revendiquer mon « vrai » métier d’écrivain.
Depuis…
Depuis je planche sur masse de projets. D’écriture, des projets secrets, des discussions, etc. J’ai la trouille pour l’avenir. Mais je n’ai jamais autant osé y croire. Je n’ai jamais eu autant « confiance en ce que je pouvais faire ».
J’parle de ces trois personnes, beaucoup. Parce qu’elles sont importantes dans mon parcours. Chacune à leur manière. Parfois sans le vouloir. Mais j’ai énormément appris (et j’apprends encore) d’elles !
Il y a une personne absente de ce tableau à qui je dois encore plus. Mais on va ranger les violons, c’est déjà assez sentimental comme ça… Et puis, je peux dire « merci » à David de vive voix…
Allô, Roger ? Quoi ? On annule l’opération ? Alors on prend quoi ? L’Europe entière ?! Mais vous êtes des malades à l’Etat-Major ! Non, non, ce n’est pas de l’insubordination, mon Colonel. Jamais. Non, mais faut nous comprendre, on a les culottes trempées, et les boots qui puent là…
Ah ouais, une guerre c’est long ? Sans déconner.
Ça va, vous fatiguez pas mon Colonel, on va vous la prendre cette putain de plage !
Bravo. En espérant que tu en finisses avec cette sale habitude à la dévalorisation. Mais ça m’a l’air bien parti. Comme dirait Nabilla « sois toi même », garde ce regard critique sur le net, continue à déconstruire ce qui mérite de l’être.
Merci, je vais suivre le conseil de Nabilla ^^
J’essaie de perdre cette habitude car elle agace, et elle joue un gros rôle, je pense, dans le processus. A force de se répéter les choses… Alors l’inverse doit être vrai également !
Je continue mon travail sur l’A-4, à la hauteur de mes moyens. Parce que ça fait du bien. Merci à toi d’aimer et de soutenir ce blog autrefois caché ^^
Eh bien, je suis heureux de voir:
1) la « Genèse » de Camille Gillet car je pensais que tu étais plus « ancienne » que cela, à en croire la maturité de tes propos / opinions, etc.
2) que tu n’as pas peur de reconnaître et féliciter les hommes qui t’ont aidée à croire en toi-même
3) que tu crois en ton travail. Fermement.
Je suis triste de constater:
1) que ce ne sont que des hommes, sur les 20 que tu cites. Et les nanas, où kelles sont, hein ?
2) que tu ne te crois – toujours – pas en toi, ce qui doit en partie expliquer l’emphase verbale avec laquelle tu écris, très souvent. Cette exagération cache quelque chose… But you are working on it, obviously 🙂
Un excellent prochain semestre, alors! Et RDV dans un an, place des Grands… non, je ne la fais pas.
Amicalement,
Olivier
Salut Olivier !
En fait, pas du tout, c’est ça qui est dingue. J’ai un oeil sur le Web depuis des décennies, mais sur ces métiers… Depuis peu. Et encore, au travers du SEO, et au départ en tant que conjoint. Côté « expérience perso », c’est très récent. C’est pour ça que c’est intense (et fatiguant) comme expérience ^^.
C’est important de remercier ces gens, de le dire aussi. On a tendance à s’imaginer qu’une aventure comme ça se fait d’elle-même. Il n’y a pas plus faux. Il faut simplement l’admettre.
C’est vrai qu’il n’y a que des hommes. Mais c’est parce que je n’ai, même irl, que peu de femmes dans mes cercles. Ca a toujours été comme ça. Je ne saurais pas te dire pourquoi. Dans mon aventure, ce sont des femmes sur le plan perso (famille, même) qui ont été présentes. Mais cette proximité avec les « mecs », est une constante que je ne relève plus x)
Pour l’emphase, il y a une raison toute autant psychologique, qu’esthétique. Chez moi, j’aime à user de l’exagération parfois pour l’humour. C’est grinçant, ça tâche. Ca me plaît ^^
Bref, merci beaucoup pour ton commentaire, et tes encouragements !
Excellent, que dis-je excellent ! Merde cet article est un chef d’oeuvre du web. Il est d’autant plus bon qu’on est nombreux à se reconnaître derrière cet article.
Il y a ce passage fatidique à passer. Cette barrière entre noob et noob dans des métiers du web en constante évolution.
Toi c’était Laurent Bourrelly et moi c’était Marie-Aude qui m’effrayait. Aujourd’hui, elle m’effraie toujours mais je n’ai plus peur de sortir un article. Un jour elle m’a clashé, j’ai pleuré 2min (je suis un homme merde…) puis j’ai écouté et tout changé. 1 an plus tard j’étais un peu là… 3 ans après je suis un peu plus là… Demain je serai loin !
En 2016, je coûte cher, j’ai des projets qui déchirent et je vais bientôt travailler avec toi. Oui c’est déja fait dans ma tête même si tu ne le sais pas. J’ai d’autres surprises pour toi mais c’est pour plus tard, je suis un homme qui se désire….
Amuse toi bien sur le web, prends du plaisir et fais nous plaisir. Ton humour me plaît. Tu peux donc continuer tes blagues de merde.
Belle soirée Roger… merde toi c’est Camillle, je suis perdu !
Wow, merci (je prends au premier degré ton compliment, oui :D) ! C’est énorme ton retour, car il est bourré de tranches de vie. Et super rassurant, en fait. Parce que je m’imaginais que c’était peut-être « plus simple » quand on est dans un domaine technique. Après tout, tu sais ou tu sais pas. Donc je n’aurais jamais pensé que ça puisse être la même problématique pour un SEO.
Mais le truc, c’est que je parle de Laurent, mais Stéphane, avec qui pourtant je parle tous les jours, est le vrai qui me défonce ! Tu vois l’anecdote de la remise en question douloureuse, il m’a fait le coup. C’était un gros viol, mais profitable. Merci de partager ça, car c’est délicat quelque part. Perso, ça me rassure ^^’ Je me sens moins seule !
J’ignorais qu’on allait travailler ensemble ! Ca me fait plaisir, mais ton retour et ton parcours sont encore plus prometteurs ! Ca donne envie de continuer de naviguer, contre vents et marées, crises de larmes et de rire. Pis… Ya encore plein de blagues à faire, et si je commence à avoir un public… !
Merci, et belle soirée à toi Victor, au plaisir rapidement sur Twitter 😀
Toujours aussi agréable de te lire ma chere Camille.
Mais, moi aussi, j’ai appelé Roger… Et même Houston, car, on a un problème. We havé à problem Houston !
En effet, tu as oublié une lettre à mon nom. Et pour ça, je te dit bravo, car il n’y a pas de fautes d’orthographe sur les noms propres, et pourtant tu arrives avec talent a en faire une 😉
Au plaisir d’échanger sur Twitter !
Oh non >< En plus, j'ai bien relu ton nom pour vérifier qu'il y avait un accent... Qu'elle andouille ! Voilà, parce que j'avais peur de faire une faute, j'en ai fait une. Vraiment désolée... Roger va m'engueuler, j'espère que Houston est encore focus sur l'Appollo, parce que j'étais peut-être un peu trop dans la lune...
En tout cas, c’est toujours plaisant de te lire, particulièrement pour l’énergie que tu mets dans tes écrits.
Merci Lionel ! Mais j’ai un secret côté énergie : un problème de dépendance à la caféine. Je devrais peut-être envisager d’être sponso par RedBull ^^
Ca fait du bien de lire ce genre d’article, Camille.
Et ton Maîîîtreeeuuu a raison de te secouer dans tous les sens : il va bien falloir à un moment ou un autre que tu lâches tous les verrous.
Ce que tu qualifies d’orgueil, ça n’en est pas : c’est juste toi, avec ta fougue.
Alors vas-y : lâche les chevaux qu’on s’amuse avec toi sur le ouaib, histoire de sortir un peu de ces bibliothèques trop bien rangées dont on nous gave le cerveau à longueur de semaine.
Ah Marc !
Tu vas encore me retourner le cerveau. Il va falloir qu’on reparle de cette histoire d’orgueil. Oui, Stéphane a raison de pousser, et c’est un drôle de phénomène (ce qu’il fait, pas le bonhomme… Quoi que.) à voir. Outre le fait qu’il prouve directement ses qualités et compétences dans ce rôle, il me fait me poser une certaine question : est-ce qu’on n’a pas toujours besoin, parfois, d’un peu de « violence » ? D’objectifs brutaux, d’ultimatum, etc.
Je lâche la bride en ce moment, mais côté écrits privés. Ils m’amusent plus. Mais j’ose enfin les faire sortir de leur trou. Il était temps ? Je sais pas, mais j’en tire et plaisir, et fierté. ^^
Il est toujours aussi agréable de te lire. Tu as un style vraiment différent des autres, c’est rafraîchissant.
Bravo pour ta réussite en tout cas.
Ya pas meilleur compliment, merci ! Je suis contente que la lecture donne du plaisir, c’est le but ^^
Merci encore 🙂